mardi 25 mai 2010

EFT contre la phobie des emails

Pour ceux qui se sentent débordés ou qui n'ont juste pas envie de répondre...

Gary Craig écrit :
"Le sentiment d'être submergé par le courrier électronique devient de plus en plus une réalité à l'entrée du nouveau millénaire et peut être un déclencheur pour d'autres problèmes émotionnels. Michelle Laprise nous envoie un compte-rendu de sa propre expérience, ainsi que son propre point de vue après quelques séquences de tapotage EFT sur le sujet."

Traduction de la page :
**http://www.emofree.com/Fear/emailphobia.htm**

Lettre de Michelle Laprise :

Cher Gary,

Après en avoir discuté avec un ami qui pratique aussi l'EFT, je suis arrivée à la conclusion que j'avais "la phobie des emails". Je paniquais en voyant tous mes emails non lus - spécialement les vôtres. Alors, je les évitais tous et je n'ouvrais pas mes emails avant d'avoir "le temps pour ça". Si j'essayais de choisir les plus urgents, je m'angoissais parce que je voyais la pile chaque jour augmentée des "emails de Gary non lus", et de tous les autres. Je voulais absorber toutes vos précieuses perles de sagesse sans prix, mais "pas maintenant" ! Ensuite, je téléchargeais tout cela en tas et je les lisais avec un crayon surligneur.

Alors, j'ai tapoté pour mon anxiété liée aux emails et pour tout le reste (niveau d'intensité de l'anxiété à 9) et je l'ai ramenée à 2,5. Le résultat, c'est que j'ai réussi à lire tous mes emails, y compris les vôtres, que j'ai imprimé ceux que je voulais garder comme référence, que je les ai lus, et que je suis en train d'avancer dans ma vie.

Je suis maintenant quelqu'un qui répond à ses emails immédiatement. Et je réussis à vérifier mes emails 5 ou 6 fois dans la semaine (habituellement je n'arrivais à le faire qu'une ou deux fois).

REPONSE DE GARY CRAIG : Je me demande si la même chose ne se passe pas pour certains étudiants qui en fait développent une phobie des livres, des tests d'examens, des exposés et mémoires, et/ou des mathématiques et statistiques. Certains étudiants sont bons dans certaines matières et mauvais dans d'autres. Je sais qu'au lycée je n'aimais pas la littérature ni l'histoire. J'y obtenais des notes correctes, mais je me souviens d'avoir ressenti comme un choc émotionnel à l'intérieur de mon système chaque fois que j'entrais dans ces classes ou que je commençais une lecture. C'était peut-être un manque d'intérêt, je ne sais pas. Cela se passait il y a trop longtemps pour que je puisse le dire. Néanmoins, je suspecte le fait que certains sujets (ou professeurs) puissent déclencher des éléments négatifs en nous, ce qui ensuite affecte nos performances estudiantines. On peut faire le tapotage sur tout cela.

Bien à vous,

Michelle LaPrise

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