lundi 5 avril 2010

EFT pour une personne atteinte de la maladie de Parkinson

Avoir ou non envie de continuer l'effort quand on a la maladie de Parkinson ? L'EFT redonne espoir. 

Gary Craig, créateur de la méthode EFT, constate ce qui suit au bout d'une vingtaine d'années de pratique, par lui-même et par de nombreuses personnes dans le monde, professionnels de la santé, coaches et enseignants, qui lui ont envoyé des centaines d'études de cas.
Il écrit ce qui suit :

"La méthode EFT est basée sur de nouvelles découvertes impressionnantes impliquant les énergies subtiles du corps. Elle a été cliniquement efficaces dans des milliers de cas de symptômes physiques de toutes sortes .... y compris la maladie de Parkinson.
- EFT "marche" souvent là où rien d'autre ne peut le faire.
- C'est un processus habituellement rapide, durable et doux.
- Cela n'implique l'usage d'aucun médicament ni équipement spécial.
- C'est facile à apprendre par tout un chacun.
- On peut très facilement l'appliquer sur soi-même.

"Même si le client dans le cas précis rapporté ci-dessous a obtenu des résultats extraordinaires avec l'EFT, nous devons essayer de comprendre pourquoi il a soudain cessé d'utiliser la méthode. Pourquoi, si les résultats sont bien au-delà de ce qui pouvait être espéré par les procédures de guérison conventionnelles, le client a-t-il délaissé le processus ensuite ? C'est l'un de nos mystères EFT. Je crois que c'est un peu la même chose que lorsque certains patients ne prennent pas les médicaments recommandés par leur médecin.
Notez que dans ce cas précis les résultats on été atteints même si le praticien (Henry Davies du Royaume-Uni) a appliqué l'EFT alors qu'il était lui-même encore un ébutant. De plus, notez que tout a été fait en une seule session.
Bien à vous, Gary Craig.

"P.S. C'est après que ce cas ait été publié que l'auteur à succès Cheryl Richardson a proposé quelques éclaircissements sur les raisons pour lesquelles certains clients cessent d'utiliser l'EFT en dépit des avantages évidents déjà obtenus."


Traduction de la page :
http://www.emofree.com/parkinsons-disease.htm**

Par Henry Davies :

Cher Gary

Je travaille comme soignant médical en Angleterre depuis 2 ans. J'ai commencé à étudier l'EFT et à explorer ses utilisations surtout sur moi-même. Je suis encore relativement un débutant.

Cependant, j'ai récemment essayé l'EFT sur un homme de 83 ans qui est totalement paralysé et incapable de parler à cause de la maladie de Parkinson. J'avais beaucoup hésité à essayer l'EFT car je me sentais intimidé par la gravité de son état. Après lui avoir expliqué les principes de base de l'EFT, je l'ai laissé décider s'il voulait essayer. Quelques jours plus tard, il m'a signifé qu'il voulait que je le fasse.

Je me suis alors senti un peu dépassé à l'idée de savoir par où commencer. Devais-je commencer par son incapacité à parler, ou par la perte de l'usage de ses membres, ou par ses difficultés de déglutition, etc.? Finalement, j'ai décidé de me concentrer sur sa manière de serrer sa main droite afin éventuellement de lui apprendre à tenir un stylo pour écrire. Pour le test de l'intensité préalable, j'ai dû improviser et j'ai choisi de lui demander d'essayer de prendre un verre dans sa main ; ainsi, si l'EFT était efficace, il y aurait un résultat patent.

J'ai dû faire le tapotage sur lui en utilisant l'affirmation suivante :
- "Même si je ne peux pas prendre un verre dans ma main..."

Après 2 séquences de tapotage, il a pu ouvrir complètement la main et saisir le verre, ainsi que le soulever jusqu'à atteindre à peu près la hauteur du menton. Il a ensuite posé le verre sur la table sans la moindre défaillance. Nous étions tous deux complètement stupéfaits de ce résultat.

Nous avons ensuite continué en essayant de lui faire tenir un crayon. Après encore 2 séquences de tapotage et plusieurs tentatives d'écriture, il a pu écrire son nom en caractères parfaitement formés. Son épouse a confirmé que depuis des années il avait seulement été en mesure de griffonner des lignes.
Nous avons tous été surpris et énormément encouragés.

Toutefois, la mauvaise nouvelle, c'est qu'il a perdu la volonté de continuer. Je comprends ce qu'on appelle "l'interruption d'intention", et que c'est un phénomène lié à la maladie de Parkinson.
Plusieurs jours se sont écoulés maintenant et il n'a toujours pas retrouvé la volonté de reprendre le travail là où nous l'avions laissé.
Il semblerait que je n'aie pas d'autre alternative que d'être prêt pour le moment où la porte s'ouvrira à nouveau ...

Henry Davies

******